les caresses de l’amour
2062011Testa de Giovinetta ( Leonard De Vinci )
Les caresses de l’amour
J’aimerai vous offrir toute la folie de l’art !
Les marbres de Florence qui laissent les yeux hagards
Les tableaux de VAN GOGH au musée D’Amsterdam
Les peintures de VERMEER qui sublimaient les femmes
Michel ANGE et DAVID sculptant la fleur de l’âme.
LEONARD DE VINCI dont le génie m’entraîne.
Aux portes de LASCAUX, je pleurais comme on aime.
J’ai caressé l’amour, dans la belle ville de Vienne
C’est quand je pars de Bruges, qu’il faut que j’y revienne.
Je pourrai vous parler toute la nuit de l’art !
De toutes ces sensations que perce notre regard
Mais comment vous « d’écrire », ce chaos intérieur
Qui fait de la splendeur tout le savoir du cœur.
J’en suis décomposé à chaque exaltation
Comme ci tout ce talent coagulait mon sang
Je deviens détonnant en puisant la passion
De ces très grands artistes devenus fécondant.
Ne me demandez pas pourquoi je vis comme ca
C’est une obligation et pas vraiment un choix
Comme le papillon qui meurt dans la lumière
Je suis hypnotisé par l’art et la matière
Ce que je sais d’instinct pour l’avoir consumé
C’est que je vais mourir dans la sérénité
Fort de jubilations, imbibé d’absolu !
En hurlant à la vie d’avoir si bien vécu !
DAVID par MICHEL ANGE
Catégories : AUTRES POEMES page N°3
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